The Hired Killer/ Le Tueur à Gages
The Hired Killer
He had himself placed a bottle of gin, tonic, salted almonds, glasses and an ice-bucket on the small table himself, seeing that he was alone in his fortress home. At great expense he had chosen the best security available_Moby-Houston. He did not believe in bodyguards, because who could you trust? He had just poured the gin in the glass, and was about to drop an ice cube in it when he heard a rustle. His first reaction was to dismiss this as hysteria, for who would have been able to break in here? Then suddenly, there, large as life was the hired killer. The man looking at him with a grin on his face, his finger on the trigger of the Glock, who had been sent to kill him. He had always known that Novotnik wanted him dead, and he knew there was no escape. Novotnik would only send the best. He put both his hands up and waved them playfully, signifying resignation.
-I give up. You win. Novotnik?
-Da.
-Look, I promise you I am not gonna do anything desperate_
-Not much point, is there?
-Quite. So grab yourself a chair tovaritch, and let’s have a gin and tonic together like the civilised men we are. These salted almonds are excellent.
The killer sat and he poured the drinks. Suddenly he asked, ‘Out of curiosity, how much is he paying you?’ He was shocked when he heard. ‘A hundred grand? Is that what he thinks I’m worth? Is that what he thinks you’re worth? he’s a mean bugger, Novotnik, he lacks class.’ The visitor shrugged.
He was not afraid of death. With a professional killer, it would be done efficiently and quickly. A good way to go.
-I was thinking of something_’ he began, but stopped.
-What?
-No, forget it, I don’t want to insult you.
-No, tell me, I am not easily insulted.
-Well … you’re a contract killer, right? The man shrugged and nodded.
-You kill for money? The man shrugged and nodded again.
-If Novotnik pays you a hundred grand to kill me, would you kill him for two hundred grand if I hire you?
-Yes, why not?
_I pay cash. I’ll go get it.’ He came back and gave the man what he had said plus a handsome tip.
-Sorry, gospodin, before I fulfil Novotnik’s contract, do you have a last wish?’
_But, but I, I, I thought we’d agree _’
_I must stop you. I gave my word to Novotnik, it’s a question of honour, but gospodin, the moment I’m done here, I’ll go sort Novotnik out. You have my word.’
Le Tueur A Gages
Il avait pris le soin de mettre lui-même bouteille, verres, seau de glace et amandes salées sur la table au bord de la piscine avant son plongeon, vu qu’il était seul dans sa forteresse sécurisée par Moby-Houston pour six millions de dollars. Il n’avait pas de garde de corps, il n’en avait pas besoin. Electroniques + Rottweilers = Invincibilité.
Il s’était versé un demi-verre de gin, et tenait un cube de glace par la pincette quand il entendit un bruissement insolite. Il avait tout de suite compris. En son for intérieur il avait toujours su que Novotnyk n’allait pas le laisser tranquille, que l’étanchéité était illusoire. Il finirait bien par lui envoyer le meilleur bourreau qui soit, il pouvait y mettre le prix. Et ce jour était aujourd’hui, et le gars était là en face de lui, son Glock braqué sur son front. Il leva ses mains au dessus de la tête, acceptant la réalité..
_Novotnik?
_Da
_Rassures-toi tovaritch, je ne suis pas armé, et je sais que tu dois être un crack. Je n’ai aucune intention de jouer le héros. On peut parler, non? L’homme hocha les épaules faisant une moue.
_Prends une chaise, et buvons un gin et tonic comme deux hommes civilisés... ces amandes sont les meilleures que j’aie jamais goûtées.
Le visiteur ne se fit pas prier, et il remplit son verre à moitié.
_Dis-moi, tovaritch, il te paie combien, Novotnik, pour ce contrat? Le tueur but une gorgée avant de répondre.
_Cent mille … pounds.
_Il croit que je ne vaux pas mieux? Que tu ne vaux pas mieux?
_On est nombreux gospodin … il y en a qui ferait ça pour dix milles.
_Non, Novotnik n’a pas de classe.
Il n’avait vraiment pas peur de la mort. Il s’était fait à l’idée qu’il finirait comme ça un jour, mais une idée lui vint en tête, ‘ Eh tovaritch… je ne veux pas t’offenser…’
_C’est pas facile de m’offenser.
_Tu es un tueur à gages, non? Tu tues pour un prix? L’homme fit oui de la tête.
_Si Novotnik te paie cent mille pour m’éliminer, serais-tu d’accord de l’abattre pour deux cents mille? L’homme sourit et fit de nouveau oui de la tête.
_Je paie content. D’accord?
Et il alla dans son bureau chercher le fric. Il revint avec la somme convenue et un gros pourboire, et la remit au tueur, qui l’empocha.
_Avez-vous une dernière volonté, gospodin.
_Ahuri, l’oligarque commença à clignoter comme un phare avec un mauvais circuit.
_Mais je … je … croyais que … nous étions convenus_
_Mais gospodin, c’est plus que convenu. Après avoir réglé de contrat de Novotnik, Je file à toute hâte chez lui pour exécuter le votre. Je n’ai qu’une parole